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Notes sur le tag : umberto saba

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Dernières notes

Umberto Saba, Il Canzoniere

               Rouge-gorge   Même si je voulais te garder je ne puis.   Voici l'ami du merle, le rouge-gorge. Il déteste autant ses pareils qu'il semble heureux auprès de ce compagnon. Toi, tu les crois amis inséparables quand, surpris , à l'orée d'un bois, tu les surprends. Mais d'un élan joyeux il s'envole,...

Publié le 30/06/2018 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Umberto Saba, Il Canzoniere

                            Le dernier amour   Que me faudrait-il pour être heureux ? Une petite chambre, mais avec un feu allumé deux tasses, deux petites tasses, l’une pour toi, l’autre pour moi, Paolina ; et adoucir de tes baisers l’amertume de la boisson. O ma toute petite...

Publié le 18/07/2017 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Umberto Saba, Chansonnettes pisanes

                      Chansonnettes pisanes   I   Clairsemées les eaux du fleuve      immobile une hirondelle,      sur la rive un brancard,      lent, très lent avance. Lent, je le suis : je pressens      la...

Publié le 22/10/2016 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Umberto Saba, Couleur du temps

                            Le ghetto de Trieste      Vers 1860, le ghetto de Trieste était encore dans la floraison de ses dégoutantes origines. Mis depuis un demi siècle au même niveau que les autres citoyens, affranchis de...

Publié le 15/09/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Umberto Saba, Oiseaux, dans Il Canzoniere

Rouge-gorge   Même si je voulais te garder je ne puis.   Voici l'ami du merle, le rouge-gorge. Il déteste autant ses pareils qu'il semble heureux auprès de ce compagnon. Toi, tu les crois amis inséparables quand, surpris , à l'orée d'un bois, tu les surprends. Mais d'un élan joyeux il s'envole, fuyant le noir ami qui porte au bec une vivante proie....

Publié le 06/04/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Umberto Saba, Trente poèmes, traduction Georges Mounin

                Printemps   Printemps que je n'aime pas, je veux raconter que tournant au coin d'une rue, le présage de ta venue me blessait comme un coup de couteau. L'ombre mince encore des rameaux, sur la terre encore nue, me trouble aujourd'hui comme si je pouvais, comme si je devais renaître. La tombe...

Publié le 12/02/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

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